Dressage : le meilleur anti-stress pour chien
Gros plans sur les moments clés de l’éducation du chien
Zoom sur l’importance du sevrage pour le bien-être animal
Cette étape doit se faire de manière progressive et adaptée à chaque chiot, entre la quatrième et la septième semaine de vie*. L’enjeu de cette phase est important pour épargner des troubles digestifs et vomissements au jeune chien, mais aussi pour son apprentissage de l’autorité et l’évolution de son équilibre émotionnel.
La première année est décisive pour le bien-être animal
Malgré le joyeux bazar qu’apporte le jeune chiot, il importe de savoir reconnaître des attitudes qui pourraient résulter d’une éducation lacunaire et de travailler à y remédier. Et s’il est possible de reprendre en main une éducation canine défaillante, il faut bien être conscient qu’après ses deux premières années de vie, un chien a déjà acquis des automatismes prégnants, parfois difficiles à faire perdre.
Le renforcement positif : une méthode de dressage à portée de chacun
Découvrez les principes du renforcement positif
Pour asseoir un comportement chez un chien, une des solutions les plus efficaces est de l’associer à un événement ou une sensation agréable. Ainsi, après un ordre exécuté par le chien, son propriétaire peut prendre l’habitude de le récompenser d’un geste tendre, d’un mot gentil ou encore d’une friandise. Privilégiez cette méthode à d’autres punitives. Elles peuvent avoir des conséquences néfastes sur l’équilibre émotionnel de l’animal.
Comment mettre en place le renforcement positif au quotidien ?
Lors des premiers mois, il importe que le fonctionnement du dressage soit bien compris par le chien. Ainsi, pourquoi pas, au départ, adopter un signal sonore** après chaque action positive du chien (à l’aide de la voix ou d’un objet), ou encore une gestuelle familière bien identifiable par l’animal. Le recours aux friandises et caresses peuvent devenir, ensuite, des techniques d’ancrage du dressage de manière informelle.
La régularité dans le travail de dressage
Un planning bien arrêté, mais un travail de chaque instant
Des plages de travail de 15 minutes sont bien suffisantes, à répéter à fréquences rapprochées (4 à 5 fois par semaine est idéal). De même, il est possible au quotidien d’habituer l’animal à une attitude favorisant le travail de dressage par la suite. Développez ainsi la compétence de concentration en apprenant à votre chiot à réagir lorsqu’il entend son nom. De même, habituez votre chien à marcher en laisse, à adapter autant qu’il le peut son rythme au vôtre, pour qu’il sente l’ascendance de son maître sur lui.
L’importance de la collaboration avec les spécialistes
Bien sûr, de fréquentes visites chez le vétérinaire vous aident à suivre le bon développement de votre animal ou à reconnaître des signes de déviances disciplinaires. En cas de sérieux problèmes, un comportementaliste peut intervenir pour vous accompagner dans un retour « vers la norme ».
Un ostéopathe peut aussi observer si des douleurs articulaires ou douleurs musculaires ne sont pas à l’origine d’un dysfonctionnement comportemental. Des produits à base de CBD pour chiens peuvent aussi vous être conseillés pour calmer votre animal dans les premiers temps du travail de dressage.
Les informations et produits présentés sur ce site ne sont pas destinés à un usage médical. Demandez toujours conseil à un vétérinaire pour toute question relative à un problème de santé de votre animal.